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« La maison vide » ou la puissance d’un roman plein

« La maison vide » ou la puissance d’un roman plein
Le prix Goncourt a dopé le dernier livre de Laurent Mugnier qui était déjà un best-seller. 750 pages dont on ne décroche pas. Un style limpide, des mots simples qui vont et frappent comme les paquets de mer des fortes marées. Aucun effet de mode. Mais une saga de l’intime d’une famille de la fin XIX° à aujourd’hui qui va bien plus loin que la guerre des sexes. La force de Mugnier c’est qu’il ne sacrifie pas à une littérature victimaire. A le suivre, la malédiction patriarcale qui frappe si cruellement les femmes supplicie aussi les hommes.

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