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« Tel Judas, ce gamin poignarde son unique sœur dans le dos » : la cinglante riposte d’Anouchka Delon à son frère

La guerre est déclarée chez les Delon et la bergère a répondu au berger. Anouchka Delon a écrit une longue lettre sur les réseaux sociaux, intitulée « C’est l’histoire du père, du fils, et de la petite fille ‘chérie’ », en réponse aux accusations de son frère cadet. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Anouchka Delon (@anouchkadelon) Dans cette lettre, elle qualifie son frère de « petit garçon très, très en colère ». « Tel Brutus ou Judas, ce gamin prétendant être un fils, un frère, s’engagea à poignarder son unique sœur dans le dos, ainsi qu’à trahir les liens sacrés du sang sur la place publique, tribunal populaire en plus. Mû par une jalousie fratricide et une haine compréhensible mais inexcusable, il la condamna violemment en aménageant la scène à son avantage de personne de confiance un peu trop tardive », répond-elle aux attaques de son frère cadet.Elle dément également fermement les accusations de son frère, les qualifiant de « scénario chimérique, calomnieux et paranoïaque ».Elle accuse à son tour Alain-Fabien d’avoir dépouillé leur père de sa dignité et de ses dernières volontés. Elle reconnaît l’échec de leur père à « souder son clan » mais estime qu’il ne mérite pas ce « déballage » public.Le prix à payer de la « préférence paternelle »Anouchka affirme que les menaces de son frère lui « passent au-dessus » et y voit le prix à payer pour la « préférence paternelle » dont elle a bénéficié. Elle conclut en s’adressant à son frère, lui rappelant qu’elle refuse de se laisser « agrafer une étiquette qui n’est pas la sienne » et les mots de son père : « N’oublie pas que tu es une Delon ».« Le monde entier (star internationale oblige) assiste à l’embrasement des maigres restes d’une famille bancale, mais par-dessus tout, à la destruction d’un mythe qu’un monstre sacré a mis une vie à bâtir (rendons à César ce qui lui appartient). Le cadet essaye de tuer le père une bonne fois pour toutes en dansant sur sa tombe avec indignité. Qu’importe, Delon est éternel », souligne encore la jeune femme.Le litige porte notamment sur le fait qu’Anouchka Delon est la seule héritière du droit moral, détenant la majorité des parts de la société Alain Delon International Distribution (ADID), ce qu’Alain-Fabien conteste. Il a déclaré vouloir l’empêcher de « toucher quoi que ce soit ». La fratrie est également en désaccord sur la vente du domaine familial de Douchy.

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