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ISF: le retour d'une obsession française

ISF: le retour d'une obsession française
Est-ce le signe qu’il a abandonné tout espoir de gagner son pari, et que, à rebours de toute méthode, il est prêt à tout et son contraire pour sortir du piège dans lequel il s’est lui-même enfermé ? Depuis l’annonce, le 25 août dernier, qu’il demandera « un vote de confiance » à l’Assemblée nationale, François Bayrou a en effet plusieurs fois changé de pied. A TF1, il a ainsi expliqué deux jours plus tard qu’il ne fallait pas parler de « confiance », mais qu’il s’agissait pour les parlementaires de se prononcer sur un diagnostic partagé, tentant par là de déminer la charge politique que représenterait un vote de soutien au gouvernement. De même, sa promesse était d’écarter toute discussion sur le détail des mesures de son plan d’économies de 43,8 milliards d’euros pour amener les députés à simplement valider un constat général sur le surendettement de la France. Mais dès le lendemain, il tentait de séduire la CFDT en proposant d’alourdir la taxation des riches.

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