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Laurence de Charette : «la tentation d’un mauvais féminisme»

Laurence de Charette : «la tentation d’un mauvais féminisme»
LE BLOC-NOTES - Nul besoin de convoquer à l’audience «la domination masculine» ou le «patriarcat» pour juger les violeurs de Gisèle Pelicot ou le mari de Delphine Jubillar. La solidité d’un jugement impose aux magistrats de se tenir à bonne distance des interprétations idéologiques.

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Opinions, Débats